Summer Sketches (Score)

Score only

0 Full Score A3 - 1 Full Score - 1 Soprano Saxophone I - 1 Soprano Saxophone II - 2 Alto Saxophone I - 2 Alto Saxophone II - 2 Tenor Saxophone - 1 Baritone Saxophone - 4 Flugelhorn I - 4 Flugelhorn II - 4 Flugelhorn III - 1 Cornet Eb - 2 Trumpet I - 2 Trumpet II - 2 Trumpet III - 2 Trumpet IV - 1 Solo Horn - 2 Horn I + II Eb - 2 Horn I + II F - 2 Horn III + IV Eb - 2 Horn III + IV F - 2 Trombone I C - 1 Trombone I Bb (TC) - 1 Trombone I Bb (BC) - 2 Trombone II C - 1 Trombone II Bb (TC) - 1 Trombone II Bb (BC) - 2 Trombone III C - 1 Trombone III Bb (TC) - 1 Trombone III Bb (BC) - 1 Trombone Bass C - 2 Baritone C - 2 Baritone Bb (BC) - 2 Baritone Bb (TC) - 2 Euphonium C - 2 Euphonium Bb (BC) - 2 Euphonium Bb (TC) - 2 Bas Bb (TC) - 2 Bas Bb (BC) - 2 Bas Eb (TC) - 2 Bas Eb (BC) - 2 Tuba C - 1 Percussion I - 1 Percussion II - 1 Percussion III - 1 Percussion IV - 1 Timpani

Summer sketches" pour cor et orchestre de fanfare a été écrit au nom de Tijmen Botma à l'occasion de son 35e anniversaire de mariage avec la corniste Petra Botma-Zijlstra. Cette composition a été rendue possible grâce au soutien financier de Musidesk Rijnbrink. Le concert se compose de 2 parties. La première partie, "Quasi una Fantasia", est, comme son titre l'indique, dépourvue de structure. Dans l'introduction, les saxophones présentent un motif composé de deux accords, si bémol majeur et la mineur. Cette connexion harmoniquement modale fonctionne comme la cellule germinale musicale de l'œuvre entière. De plus, cette progression d'accords symbolise le nom de BotmA. Outre l'accent mis sur le jeu mélodique et lyrique, l'archétype du cor en tant qu'instrument de signalisation est également abordé. Une courte cadence conclut cette partie. Dans la deuxième partie, "Caccia e Choral", l'accent est mis sur la virtuosité et le jeu staccato. L'esprit de Henk van Lijnschooten hante ce mouvement, dont la musique, et notamment ses Chorales, a servi de toile de fond à l'amour naissant entre Tijmen et Petra, tous deux membres de l'orchestre de la Fanfare Nationaal Jeugd dirigée à l'époque par Piebe Bakker. Cette partie se termine pensive, dans un lointain souvenir de la musique des virginalistes anglais, entourée des sons de van Lijnschooten et de l'auteur lui-même.